Différences entre les versions de « Knokke-le-Zoute tango »
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Les soirs où je suis argentin | Les soirs où je suis argentin | ||
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Ce soir comme tous les soirs | Ce soir comme tous les soirs | ||
Je me rentre chez moi | Je me rentre chez moi | ||
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Dernière version du 12 avril 2012 à 17:31
Information | |
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Paroles | Jacques Brel |
Musique | Jacques Brel |
Année | 1977 |
Discographie |
Barclay - 96.010, 1977 |
Les soirs où je suis argentin
Je m'offre quelques argentines
Quitte à cueillir dans les vitrines
Des jolis quartiers d'Amsterdam
Des lianes qui auraient ce teint de femme
Qu'exporte vos cités latines
Ces soirs-là je les veux félines
Avec un rien de brillantine
Collé aux cheveux de la langue
Elles seraient fraîches comme des mangues
Et compenseraient leur maladresse
À coups de poitrine et de fesses
Mais ce soir
Y a pas d'argentines
Y a pas d'espoir
Y a pas de doute
Non ce soir
Il pleut sur Knokke-le-Zoute
Ce soir comme tous les soirs
Je me rentre chez moi
Le cœur en déroute
Et la bitte sous l'bras
Les jours où je suis espagnol
Petites fesses grande bagnole
Elles passent toutes à la casserole
Quitte à pourchasser dans Hambourg
Des carmencitas de faubourg
Qui nous reviennent de vérole
Je me les veux fraîches et joyeuses
Bonnes travailleuse sans parlotes
Mi andalouses mi anguleuses
De ces femelles qu'on gestapote
Parce qu'elles ne savent pas encore
Que Franco est tout à fait mort
Mais ce soir
Y a pas d'espagnoles
Y a pas de casseroles
Y pas de doute
Non ce soir
Il pleut sur Knokke-le-Zoute
Ce soir comme tous les soirs
Je me rentre chez moi
Le cœur en déroute
Et la bitte sous l'bras
Les soirs où je suis Caracas
Je panama je partaguasse
Je suis l'plus beau
Je pars en chasse
Je glisse de palace en palace
Pour y dénicher le gros lot
Qui n'attend que mon coup de grâce
Je la veux folle comme un travelo
Découverte de vieux rideaux
Mais cependant d'évanescente
Elle m'attendrait depuis toujours
Cerclée de serpents et de plantes
Parmi les livres de Dutour
Mais ce soir
Y a pas de Caracas
Y a pas de d'évanescentes
Y a pas de doute
Non ce soir
Il pleut sur Knokke-le-Zoute
Ce soir comme tous les soirs
Je me rentre chez moi
Le cœur en déroute
Et la bitte sous l'bras
Oui... Demain... Oui
Peut être que...
Peut être que demain je serai argentin ... Oui
Je m'offrais des argentines
Quitte à cueillir dans les vitrines
Des jolis quartiers d'Amsterdam
Des lianes qui auraient ce teint de femme
Qu'exporte vos cités latines
Demain je les voudrai félines
Avec ce rien de brillantine
Collé aux cheveux de la langue
Elles seront fraîches comme des mangues
Et compenseront leur maladresse
À coups de poitrine et de fesses
Demain je serai espagnol
Petites fesses grande bagnole
Elles passeront toutes à la casserole
Quitte à pourchasser dans Hambourg
Des carmencitas de faubourg
Qui nous reviendront de vérole
Je les voudrai fraîches et joyeuses
Bonnes travailleuses sans parlotes
Mi andalouses mi anguleuses
De ces femelles qu'on gestapote
Parce qu'elles ne savent pas encore
Que Franco est tout à fait mort
Les soirs où je suis Caracas
Je panama je partaguasse
Je suis l'plus beau
Je pars en chasse
Je glisse de palace en palace
Pour y dénicher le gros lot
Qui n'attend que mon coup de grâce
Je la veux folle comme un travelo
Découverte de vieux rideaux
Mais cependant d'évanescente
Elle m'attendrait depuis toujours
Cerclée de serpents et de plantes
Parmi les livres de Dutour