Différences entre les versions de « L'air de la bêtise »
(2 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
Ligne 4 : | Ligne 4 : | ||
|linkalbum=Philips - N 76.085 R | |linkalbum=Philips - N 76.085 R | ||
|nomalbum=Philips - N 76.085 R, 1957 | |nomalbum=Philips - N 76.085 R, 1957 | ||
+ | |pochette1=pochette-1957-2.png | ||
+ | |linkalbum1=Philips 1957 | ||
+ | |nomalbum1=Philips 1957 | ||
+ | |pochette2=pochette-1958-1.png | ||
+ | |linkalbum2=Philips - 432.230 BE | ||
+ | |nomalbum2=Philips - 432.230 BE, 1958 | ||
}} | }} | ||
− | Extrait du célèbre opéra "La vie quotidienne", voici la fameuse d'entre tous : "L'air de la bêtise". | + | ''Extrait du célèbre opéra "La vie quotidienne", voici la fameuse d'entre tous : "L'air de la bêtise".'' |
<poem> | <poem> |
Dernière version du 29 mars 2012 à 16:25
Information | |
---|---|
Paroles | Jacques Brel |
Musique | Jacques Brel |
Année | 1957 |
Discographie |
Philips - N 76.085 R, 1957 Philips 1957 Philips - 432.230 BE, 1958 |
Extrait du célèbre opéra "La vie quotidienne", voici la fameuse d'entre tous : "L'air de la bêtise".
Mère des gens sans inquiétude
Mère de ceux que l'on dit forts
Mère des saintes habitudes
Princesse des gens sans remords
Salut à toi, dame Bêtise
Toi dont le règne est méconnu
Salut à toi, Dame Bêtise
Mais dis-le moi comment fais-tu
Pour avoir tant d'amants,
Et tant de fiancés,
Tant de représentants
Et tant de prisonniers
Pour tisser de tes mains
Tant de malentendus
Et faire croire au crétin
Que nous sommes vaincus
Pour fleurir notre vie
De basses révérences
De mesquines envies
De nobles intolérances
De mesquines envies
De nobles intolérances
De mesquines envies
De nobles intolérances
Mère de nos femmes fatales
Mère des mariages de raison
Mère des filles à succursales
Princesse pâle du vison
Salut à toi, Dame Bêtise
Toi dont le règne est méconnu
Salut à toi, Dame Bêtise
Mais dis moi comment fais-tu
Pour que point l'on ne voit
Le sourire entendu
Qui fera de vous et moi
De très nobles cocus cocus
Pour me faire oublier
Que les putains les vraies
Sont celles qui font payer
Pas avant mais après
Pour qu'il puisse m'arriver
De croiser certains soirs
Ton regard familier
Au fond de mon miroir
Ton regard familier
Au fond de mon miroir
Ton regard familier
Au fond de mon miroir.